mission KHL...quelques similarités: LNH vs NHLBQ

Jacques Demers Mar 21 Fév - 19:39

Notre ligue de hockey simulé est un jeu intéressant et extrêmement passionnant. En regard des 13 saisons vécues dans la NHLBQ, je me suis posé quelques questions existentielles sur le mode de fonctionnement de notre ligue vs la vraie LNH. J’ai résumé mes pensées en différents points que j’exposerai sous forme de thèmes…parfois de façon humoristique…

Avertissement : ce texte contient des blagues qui pourraient choquer certains lecteurs, nous préférons vous en prévenir. Il est déconseillé aux jeunes enfants et aux susceptibles qui pourraient dire « J’décalisse »!

1.La direction de notre ligue
La LNH est dirigée par un commissaire, Gary Bettman, et son adjoint, Bill Daly. Le commissaire Bettman a été engagé par les différents propriétaires de la ligue pour remplir les coffres des différentes équipes. Son plan était de doter chaque agglomération urbaine américaine d’une concession de hockey, et ce, sur une période de plus ou moins 20 ans. Bettman dirige la ligue d’une main de fer et a le pouvoir de mettre n’importe quel propriétaire à l’amende, et ce, dans l’intérêt général de la ligue. Il est un être machiavélique et entêté qui s’acharne par pure orgueil dans le but de satisfaire son égo « américain ».

Dans la NHLBQ, la ligue est dirigée par un DG, Flair Twisted Evil

, et son subalterne Spock I love you

. Par souci d’équité, le président ne devrait pas posséder d’équipe pour éviter tout conflit d’intérêt (LOL). Comme dans l’autre ligue, le président a les pleins pouvoirs qui lui sont conférés par…par…lui-même. Il agit toujours pour le bien de la ligue, il se dit « on veut votre bien…pis on va l’avoir »! Comme dans la LNH, notre président peut mettre n’importe qui à l’amende pour à peu près tout, et ce, « effectif right now »! Heureusement pour nous, les projets d’expansion n’ont pas fait l’objet d’un processus obscur et bidon…par contre, les joueurs disponibles faisaient dur en pas pour rire…les clubs canadiens sont bienvenue dans la NHLBQ!

2.les échanges
Dans la LNH, il est extrêmement difficile de compléter des transactions, en raison du plafond salarial et des clauses de non-mouvement. Dans la NHLBQ c’est beaucoup plus facile, et ce, même si certaines clauses similaires existent, même si ce n’est pas toujours clair…À ce titre, je me demande si un système de communication interne, semblable à notre forum, existe dans la grande ligue? Histoire de voir qui est disponible ou qui est au ballotage…il me semble de voir un DG qui va voir dans la section « ballotage » et qui dit « tiens tiens Mike Ribeiro est au ballotage… » ou bien dans la section « échange » : « Eille! Pierre viens voir ça, Scott Gomez est disponible! WOW! Je vais appeler Glen Sather pour lui offrir Ryan McDonough…je sais pas s’il va vouloir, mais je vais prendre une chance! »
Évidemment, dans notre ligue certains font des offres à couper le souffle…ou à arrêter le sang de circuler! Et les exemples ne manquent pas…j’en reçois régulièrement…ouf! Comme dans la NHL où John Chiaka, jeune DG inexpérimenté des Coyotes (tiens tiens…ce nom-là revient aussi dans la NHL) aurait demandé Michael McCarron, MTL1 et MTL2 contre Martin Hanzal…on dit que le DG du CH aurait dit « non je fais pas d’échange tout court » (tiens tiens…ce nom-là revient aussi dans la NHLBQ!) lol!

3.le repêchage
S’il est un aspect important dans chacune des ligues c’est bien le repêchage! À la différence près que dans la NHLBQ on ne repêche pas des individus on repêche un « paquet de chiffre mélangés » (comme dirait ma blonde). La nouvelle formule de points bonis et de dés est extrêmement intéressante (parlez-en pas aux Islanders mais…) car elle permet de « booster » des joueurs. Elle permet de former des bons joueurs même s’ils ne sont pas des hauts premiers choix (exemple : Turner Stevenson et Andrej Podkoniky) Il est aussi possible de repêcher des joueurs venant de la KHL ou de nulle part (Conrad Bourcier…). Dans la LNH, la science du repêchage est beaucoup aléatoire, car la part d’ombre des individus a une plus grosse influence. Il n’est pas rare que les Canadiens équipes repêchent des têtes folles, des joueurs n’ayant pas l’attitude nécessaire pour évoluer à un niveau supérieur (Beaulieu, Galchenyuk, Kostisyn (2), et j’en passe…). Par contre, il y a de belles surprises, comme Ondrej Palat, Alex Killorn, Martin St-Louis, etc. (aucun joueur du CH n’a été nommé, mais on pourrait mentionner Gallagher comme étant l’exception qui confirme la règle).

Comme dans la NHL, les DG de la NHLBQ se réunissent pour effectuer cette séance où tous écoutent de façon attentive les directives du président…qui fait des bruits de pette dans le micro. Chaque organisation peut repêcher plusieurs fois, comme dans la LNH. C’est aussi un lieu de rencontre où chaque DG est obligé de participer sinon pas de « bonne chance » ou « good luck » pour ceux qui sont contre la francisation de la terminologie…le DG de la Floride est certainement pour la « francis »ation des termes…ça me fait un allié! Toujours est-il que le repêchage voit son lot d’échanges et de tergiversations de toutes sortes. Certains terminent la soirée dans un état…dans un état….magané drunken

…mettons! On a même vu un DG quitter la séance après deux rondes…pour, pour…en tout cas! On a même vu le repêchage retardé de plusieurs minutes (heures???) pour un échange qui n’a finalement pas eu lieu…ZZZZZZZ Sleep

4.Le développement des joueurs rendeer

Dans notre ligue, il est relativement facile de développer des joueurs, il faut toutefois être à son affaire pour savoir éviter la surutilisation et, par conséquent, les blessures. Il faut aussi surveiller l’OV pour ne pas que notre prospect vire en suspect…genre « Martin Gélinas » jocolor

. Dans la NHL, c’est plus compliqué, les joueurs terminent leur stage junior et commencent à jouer professionnel, la plupart du temps dans le club-école. Le talent, le travail et l’attitude sont de gros facteurs, on peut aussi parler des blessures, qui peuvent jouer un rôle.

5.La signature de joueurs autonomes
On peut certainement affirmer que la LNH est rendue un marché où la folie s’est emparée de plusieurs DG. Par la durée des contrats et les montants accordés, le plafond ne cesse de monter et les joueurs sortent gagnants de ces derbys. Dans notre petite ligue stimulée, les DG sont davantage raisonnables. La folie des 31 ans a été moins intense que prévue et Larry Robinson n’a pas signé à 19M sunny

. Faut dire que le plafond salarial ne monte pas et que la limitation de la durée des contrats a pour effet de freiner les plus téméraires…à part peut-être Chester alien

. La LNH devrait s’inspirer de notre ligue…si Flair était commissaire ce serait pas trop long que la gestapo débarquerait dans les locaux de l’Association des joueurs et que Donald Fehr serait mystérieusement porté disparu…Les enchère secrètes sont aussi intéressantes car ils représentent bien ce qui se fait aussi dans la LNH.